D’après des études menées sur les différentes espèces, il semblerait que l’action cancérigène soit liée à l’accumulation de certaines molécules provenant des vers parasites. Ces molécules, proches du cholestérol ou des œstrogènes, seraient en mesure de pénétrer dans les cellules humaines et d’altérer leur patrimoine génétique jusqu’à provoquer des mutations responsables du développement d’un cancer.
Fondation Arc